Pourquoi Aikisanté améliore votre bien-être ?
L’origin De Aiki Santé©
Notre Méthode Globale qui améliore votre bien-être
extrait d’une interview de Nadine Zenthner publiée dans PassionSanté
“Pour gérer les problèmes de stress physique et mental dont nous sommes de plus en plus victimes je cherchais une solution innovante et parfaitement adaptée à notre mode de vie.
Je l’ai trouvée simplement, en grappillant ici et là tout ce qui me paraissait bon à prendre.
Je suis férue de culture orientale. Depuis de longues années, je multiplie les expériences et les stages en tout genre dans ce domaine.
Ensuite je répercute tout ce que j’apprends.
“Le tao yin m’intéressait pour les principes de pensée positive qu’il développe : quoi de mieux, par exemple, que de se sentir valorisé tandis que le monde du travail est en train de muter d’une manière pathogène ?
Du tai-chi j’ai emprinté certaines techniques de respiration. Bien respirer est quelque chose de fondamental.
En plus, j’utilise aussi diverses positions du yoga, idéales pour l’assouplissement du corps. Je suis la seule en Belgique à procéder de la sorte.
D’ailleurs, Aiki Santé est une marque déposée.”
La Méthode qui améliore votre bien-être
“Nous nous négligeons.
Il y a des gestes tout à fait banals que nous n’effectuons plus alors qu’ils sont tellement bénéfiques.
Par exemple, bâiller. En public, ce n’est pas convenable. Donc, nous ne bâillons plus. Or, un bon bâillement, bien profond et répété, nettoie, décongestionne les canaux du visage.
Par ailleurs, se masser les mains active la circulation. S’étirer réveille les muscles. Qu’y a-t-il de compliqué à ça ? Rien !
Mais on n’y pense jamais. J’explique tout cela durant mes cours.“Je mets également l’accent sur la respiration. Au moment de produire un effort, il faut expirer.
Si je veux soulever quelque chose de lourd, je ne vais pas prendre de l’air.
Je vais en expulser et, ainsi, puiser toute l’énergie qui m’est nécessaire sans effectuer un mouvement trop violent qui pourrait avoir une répercussion sur une autre partie de mon corps, comme le dos.
L’idée est de créer des automatismes que l’on répète au quotidien.””Je veille à satisfaire le maximum de gens. Et, surtout, à ne pas perdre qui que ce soit en route.
Sauf, bien sûr, ceux qui renoncent parce qu’ils ne sont plus en phase avec mon enseignement. Dans ces conditions, continuer ne sert effectivement à rien. Autant se tourner vers d’autres disciplines, plus spécialisées.En quoi l’Aiki Santé© diffère-t-il du Tai-Chi ou du Yoga ?”Voyez le tai-chi.
Il exige de ses pratiquants une telle régularité que celui qui manque une leçon sera complètement perdu lorsqu’il reviendra.
Ce n’est pas le cas chez moi. Ceux qui sont absents une ou plusieurs semaines reprennent le train en marche dès leur retour. Sans avoir la désagréable impression d’avoir été laissés à quai par les autres.
Voilà où réside un autre attrait de l’Aïki Santé.
Il ne bascule pas dans le formatage. Mes cours sont diversifiés.
J’aide tout aussi bien ceux qui se plaignent du dos que ceux qui souffrent d’anxiété.”Quelqu’un qui est angoissé et qui se tourne vers le yoga ne sera pas satisfait.
Il ne pourra jamais évacuer son stress.
Parce que cette discipline ne s’y prête pas.
Elle est apaisante. Elle conduit à la détente.
Elle a une influence sur les muscles profonds du corps. Elle présente quantité d’avantages.
Mais elle n’a pas cet effet psychique libérateur.
Lorsque je commence une séance d’Aiki Santé, il se peut que je perçoive de la nervosité chez ceux qui sont présents.
Il y a de l’électricité dans l’air, comme on dit.
Donner un cours dans de telles conditions est naturellement impossible. Je demande à tout le monde de s’accroupir sur le tatami et de le frapper avec ses poings tout en hurlant.
Cela dure une minute. C’est suffisant. Chacun a déchargé l’agressivité qu’il avait accumulée tout au long de sa journée et nous pouvons commencer en étant en paix avec nous-mêmes.
Le travail que nous effectuerons, quel qu’il soit, n’en sera que meilleur.””Il n’est jamais trop tôt pour s’y mettre.”
“Voir des gosses avachis dans un fauteuil, devant le poste de télévision familial, m’interpelle.
Ne serait-il pas temps de leur apprendre à trouver la bonne position pour leur dos ?”